Quatre chapelles sont décrites ; les trois premières le sont très sommairement puisqu’il ne reste que peu de trace des hôpitaux qui se sont succédés dans notre cité.
Le premier hôpital qui se trouvait près du pont sur le Gier, ( début de la rue du Pont Lamartine, face à la banque), assurait l’hospitalité (des pèlerins) et l’hospitalisation, et était ainsi que la chapelle sous les vocables de Notre Dame de Pitié et de Saint Jacques jusqu’en 1750-70.
De 1822 à 1829 un oratoire temporaire assurait le service religieux au deuxième hôpital situé à l’emplacement de l’actuel n° 2 du Cours Gambetta .
Un troisième établissement conçu par l’architecte ripagérien Jean-Baptiste Chambeyron a été édifié tout près du précédent ( au 18, quai Fleurdelix) en 1829 et le clocheton de la chapelle apparaît sur une carte postale ancienne.
Enfin la chapelle ainsi que l’Hôpital Marrel, ouvert le 9 octobre 1905 sont largement décrits. Cette chapelle se développe sur deux étages et a 10,25 mètres sous clé de voûte dans sa plus grande dimension. La décoration et le mobilier sortent d’entreprises lyonnaise spécialisées et douze grands vitraux sont issus de l’atelier lyonnais Nicod & Jubin de 1913 à 1918.
Dans l’article, un encart , tiré du Mémorial de la Loire et de la Haute-Loire du dimanche 12 janvier 1902, relate la pose de la première pierre de l’Hôpital Léon Marrel.